Denis VERREY,
MEDIATEUR,
une vocation
EXPERIENCE
Membre du conseil d’administration et trésorier adjoint de la FEDERATION FRANÇAISE DES CENTRES DE MEDIATION
Membre du conseil d’administration de MEDIATION-NET
DE 2008 à AUJOURD’HUI
DIRECTEUR CONTRATS ET CONTENTIEUX
Propriété intellectuelle
Droit des affaires
2000 – 2008
RESPONSABLE DU SERVICE JURIDIQUE
Droit des affaires
Risk management
Droit social
1994 – 2000
JURISTE
Droit de l’audiovisuel
Droit des affaires
Droit social
FORMATION
DIPLOME UNIVERSITAIRE DE MEDIATEUR
Institut de Formation à la Médiation et à la Négociation (IFOMENE)
Mémoire : « L’utilisation de l’humour bienveillant dans la médiation »
DEA DROIT DE LA COMMUNICATION
Université Paris II,
Panthéon – Assas
MAITRISE DE DROIT PRIVÉ GÉNÉRAL
Université Paris II,
Panthéon – Assas
Artiste, le rêve d’enfance
Enfant, Denis Verrey, Médiateur, rêvait d’une carrière artistique et de se produire sur scène ; il s’imaginait chanteur ou pianiste, un instrument qu’il pratique depuis l’âge de 10 ans. « Etre sur scène est une expérience unique qui permet de donner, recevoir, partager, exprimer ses émotions et capter celles du public.
L’expression artistique est idéale pour extérioriser ce qui est enfoui en soi et qui ne demande qu’à s’exprimer afin de créer des passerelles entre les personnes ».
Finalement Denis Verrey n’a pas suivi une carrière artistique mais a gardé de ce rêve d’enfance, les motivations qui l’animaient : l’attention aux autres, le plaisir de partager leurs émotions, le besoin d’unir par une communication positive et harmonieuse.
Voilà pourquoi aujourd’hui il est médiateur ; on peut véritablement parler d’une vocation.
L’expression artistique est idéale pour extérioriser ce qui est enfoui en soi et qui ne demande qu’à s’exprimer afin de créer des passerelles entre les personnes ».
Finalement Denis Verrey n’a pas suivi une carrière artistique mais a gardé de ce rêve d’enfance, les motivations qui l’animaient : l’attention aux autres, le plaisir de partager leurs émotions, le besoin d’unir par une communication positive et harmonieuse.
Voilà pourquoi aujourd’hui il est médiateur ; on peut véritablement parler d’une vocation.
Une famille de juristes
Pas de scène donc, mais Denis Verrey, ayant grandi dans une famille de juristes et attiré par le droit, projette de s’orienter vers le métier d’avocat, activité notamment de représentation. Il étudie à l’Université Panthéon Assas à Paris où il obtient un DEA en droit de la communication, spécialité qui n’est pas un hasard.
Finalement, il décide de bifurquer vers une autre voie, celle de l’entreprise.
« Le monde l’entreprise m’a donné l’opportunité d’exercer de manière opérationnelle mes compétences en droit. De même, j’ai été conduit à privilégier le règlement amiable des conflits, plutôt que la voie du contentieux judiciaire”.
Tout s’enchaîne rapidement : une opportunité se présente en 1994 permettant à Denis Verrey d’intégrer le service juridique et des ressources humaines de La Cinquième, la chaîne de télévision publique consacrée au savoir, à la formation et à l’emploi, lancée et présidée par Jean-Marie Cavada. Il y reste près de 6 ans puis la quitte pour intégrer le groupe suédois Securitas en 2000.
“On m’a confié la gestion des dossiers relevant à la fois du droit des affaires et droit social », J’avais notamment la délicate mission de préparer, sur un plan juridique, les négociations entre la direction des ressources humaines du Groupe et les syndicats. Un apprentissage rude et riche à la fois ; j’y ai beaucoup, plus particulièrement en droit social qui n’était pas ma spécialité universitaire. J’ai consolidé mes savoirs faire en matière de négociation et mon expertise dans l’art du consensus, si précieux dans les relations humaines. »
Finalement, il décide de bifurquer vers une autre voie, celle de l’entreprise.
« Le monde l’entreprise m’a donné l’opportunité d’exercer de manière opérationnelle mes compétences en droit. De même, j’ai été conduit à privilégier le règlement amiable des conflits, plutôt que la voie du contentieux judiciaire”.
Tout s’enchaîne rapidement : une opportunité se présente en 1994 permettant à Denis Verrey d’intégrer le service juridique et des ressources humaines de La Cinquième, la chaîne de télévision publique consacrée au savoir, à la formation et à l’emploi, lancée et présidée par Jean-Marie Cavada. Il y reste près de 6 ans puis la quitte pour intégrer le groupe suédois Securitas en 2000.
“On m’a confié la gestion des dossiers relevant à la fois du droit des affaires et droit social », J’avais notamment la délicate mission de préparer, sur un plan juridique, les négociations entre la direction des ressources humaines du Groupe et les syndicats. Un apprentissage rude et riche à la fois ; j’y ai beaucoup, plus particulièrement en droit social qui n’était pas ma spécialité universitaire. J’ai consolidé mes savoirs faire en matière de négociation et mon expertise dans l’art du consensus, si précieux dans les relations humaines. »
L’empathie pour mieux comprendre l’autre
Denis Verrey s’est vu confier ensuite la direction du service juridique au sein de la DRH, pendant 3 ans ; puis il a dirigé de 2005 à 2008, le service « Droit des affaires – Risk management » du groupe.
En 2008, Denis Verrey décide de quitter le groupe Securitas pour renouer avec sa spécialisation en droit de la communication.
Ainsi, il rejoint la Spedidam, organisme de gestion collective exerçant les droits de propriété intellectuelle des artistes interprètes, en qualité de directeur contrats et contentieux. Il occupe ce poste de mai 2008 à septembre 2020.
« Intégrer la Spedidam a été une petite révolution pour moi. J’étais habitué à un management « à la suédoise » » au sein d’une structure de 18.000 salariés, faisant elle-même partie d’un groupe international totalisant un effectif de plus de 180.000 collaborateurs. »
J’ai considéré cette nouvelle activité comme une formidable opportunité de renouer avec ma formation initiale, notamment le droit de la propriété intellectuelle. J’ai été en relations avec de nombreux artistes, principalement musiciens. Un secteur que j’affectionne particulièrement et dont j’ai appris à connaître, pendant 12 ans, les spécificités. »
En 2008, Denis Verrey décide de quitter le groupe Securitas pour renouer avec sa spécialisation en droit de la communication.
Ainsi, il rejoint la Spedidam, organisme de gestion collective exerçant les droits de propriété intellectuelle des artistes interprètes, en qualité de directeur contrats et contentieux. Il occupe ce poste de mai 2008 à septembre 2020.
« Intégrer la Spedidam a été une petite révolution pour moi. J’étais habitué à un management « à la suédoise » » au sein d’une structure de 18.000 salariés, faisant elle-même partie d’un groupe international totalisant un effectif de plus de 180.000 collaborateurs. »
J’ai considéré cette nouvelle activité comme une formidable opportunité de renouer avec ma formation initiale, notamment le droit de la propriété intellectuelle. J’ai été en relations avec de nombreux artistes, principalement musiciens. Un secteur que j’affectionne particulièrement et dont j’ai appris à connaître, pendant 12 ans, les spécificités. »
Devenir médiateur, une vocation
En 2015 et 2016, alors qu’il était en poste à la Spedidam, Denis VERREY a suivi une formation de médiateur à l’Institut de formation à la médiation et à la négociation (IFOMENE).
« Devenir un médiateur à plein temps est alors devenu pour moi une évidence. »
Au fil des années, riche de mon expérience professionnelle, j’ai découvert les bienfaits et les atouts de l’écoute active, de la communication non violente et du dialogue respectueux.
Or, ces valeurs caractérisent précisément les techniques de communication utilisées en médiation.
Ma personnalité et mes attentes actuelles se trouvent en totale adéquation avec ce mode de règlement amiable qui trouve très naturellement sa place aux côtés des autres modes de résolution des conflits. »
« Devenir un médiateur à plein temps est alors devenu pour moi une évidence. »
Au fil des années, riche de mon expérience professionnelle, j’ai découvert les bienfaits et les atouts de l’écoute active, de la communication non violente et du dialogue respectueux.
Or, ces valeurs caractérisent précisément les techniques de communication utilisées en médiation.
Ma personnalité et mes attentes actuelles se trouvent en totale adéquation avec ce mode de règlement amiable qui trouve très naturellement sa place aux côtés des autres modes de résolution des conflits. »
Ce qui me plaît dans mon métier ?
« Avant tout la satisfaction de restaurer du dialogue entre des personnes en conflit qui ne se parlent plus et leur permettre de trouver par elles-mêmes un accord durable préservant leurs relations futures.
Par la médiation, je tente de sensibiliser les personnes qu’à un moment de leurs relations, il y avait un élan constructif et positif et qu’il ne tient qu’à elles de le retrouver pour surmonter leur conflit par les voies d’un dialogue apaisé »
Par la médiation, je tente de sensibiliser les personnes qu’à un moment de leurs relations, il y avait un élan constructif et positif et qu’il ne tient qu’à elles de le retrouver pour surmonter leur conflit par les voies d’un dialogue apaisé »
Mes centres d’intérêt ?
– La musique et notamment, le piano jazz que je pratique très souvent, seul ou en groupe,
– la randonnée en montagne, plus particulièrement dans les Cévennes, un des berceaux de ma famille ;
– l’Histoire (avec une prédilection pour la Révolution française et le 1er Empire), mais aussi les histoires, celles que l’on lit à ses enfants le soir avant qu’ils ne s’endorment ou que l’on raconte autour d’un feu sous un ciel étoilé.
– la randonnée en montagne, plus particulièrement dans les Cévennes, un des berceaux de ma famille ;
– l’Histoire (avec une prédilection pour la Révolution française et le 1er Empire), mais aussi les histoires, celles que l’on lit à ses enfants le soir avant qu’ils ne s’endorment ou que l’on raconte autour d’un feu sous un ciel étoilé.
Denis Verrey, Médiateur à Paris, fondateur et dirigeant de V-Médiation